Actualités
Retrouvez ici toutes les actualités du réseau, interviews d’acteurs et nouveautés du secteur.
Les Acteurs du Tourisme Durable vous donnent rendez-vous sur TOP Résa !
Venez nous rencontrer sur le Village du Tourisme Durable - stand L104 et L102Les exposants Acteurs du Tourisme Durable
Lancement de la webapplication CCI BUSINESS OPTIMIZER par CCI France. Développée dans le cadre de l’année internationale du Tourisme durable, CCI France lance, avec le soutien de l’ADEME et EDF Entreprises, une web-application de sensibilisation des professionnels du Tourisme à la gestion environnementale.
Basée sur des données consolidées, la web-application permettra aux hôteliers et restaurateurs, d’identifier de façon ludique et interactive les économies potentielles grâce à la mise en place d’éco-gestes. Elle a pour objectif de faire associer simplement gestion environnementale et performance.
Retrouvez nous pour des démonstrations les 26 et 27 septembre sur le stand A 104
A l’occasion du salon international du tourisme IFTM Top Résa, le Comité Départemental du Tourisme de l’Aube lance le Slow Tourisme Lab, 1er incubateur mondial dédié au tourisme en zone rurale !
Déjà précurseur sur la mise en place d’un système d’étiquetage environnemental de l’hôtellerie, avec un tiers du parc hôtelier étiqueté et également certifié ISO 20121 pour la gestion responsable de ses événements, l’Aube en Champagne poursuit sa démarche de destination
innovante et responsable. Elle sera présente avec ses partenaires, Nigloland, un des plus grands parcs d’attractions français avec engagement social et durable qui fête ses 30 ans en 2017 et le Champagne Cheurlin-Dangin, labellisé Vignobles & découvertes et Terra Vitis.
L’École-Hôtel Solar a pour objectifs de co-concevoir un modèle innovant d’hébergement économique et écologique, assimilant les nouvelles tendances de consommation et de bien-être ainsi que les nouvelles technologies.
Lancé en 2016, France Tourisme Lab est le nouveau Réseau français d’incubateurs et d’accélérateurs touristiques.
Faire de la France une destination toujours à la pointe des tendances, qui continue de répondre aux nouvelles aspirations expérientielles des clientèles, telle est l’ambition de la Direction Générale des Entreprises qui a décidé de porter le développement d’un écosystème, dédié à l’accompagnement des entreprises touristiques innovantes en favorisant la synergie nationale entre les acteurs.
En faisant de l’environnement, du développement durable puis de la RSE, un axe fort de spécialisation de l’École, La Rochelle Business School s’engage à transmettre aux étudiants ces valeurs de responsabilité et d’ouverture.
L’Association Tourisme & Handicaps œuvre depuis 2011 pour l’accès aux loisirs, à la culture, aux vacances et au tourisme des personnes en situation de handicap et pour toutes les formes de handicap (auditive, mentale, motrice ou visuelle). Ses principales missions sont de sensibiliser les professionnels du tourisme à cet accès et à accueillir, avec la plus grande autonomie possible et en intégration avec l’ensemble des clientèles, les personnes handicapées, et à promouvoir les dispositifs nationaux tels que la Marque Tourisme & Handicap (près de 5700 sites labellisés), la Marque Destination pour Tous (3 territoires touristiques : Amiens, Balaruc les Bains, Bordeaux).
Les acteurs du tourisme durable oublient souvent la facette de l’intégration et du respect de l’ensemble des populations et dans le cadre de l’année internationale du tourisme durable 2017, la présence de l’Association Tourisme & Handicaps sur le stand des Acteurs du Tourisme Durable est incontournable.
Widetrip est une agence qui a pour vocation à créer des rencontres humaines avec des visiteurs, en transformant des habitants en « guides raconteurs d’histoires vécues » procurant plaisir, surprise et enrichissement intellectuel au travers de la découverte d’une ville.
UTD 2017 - PRÉSENTATION DE L'ATELIER 4
ÉVALUER, RÉDUIRE ET COMPENSER SES ÉMISSIONS DE CO2[16H30 - 18H]
INTERVENANTS
PASCAL FILLON - RESPONSABLE ENVIRONNEMENT CHEZ ACCORHOTELS
Apres ses études d’ingénieur en génie de l’environnement, Pascal FILLON intègre le groupe AccorHotels pour la mise en œuvre et l’animation des certifications développement durable et Qualité, en lien avec la Direction Technique puis avec la Direction Marketing.
En 2014, il a rejoint la Direction du développement durable, en charge de gestion de la performance et des sujets environnementaux : Empreinte Carbone, Déchets, Eau/Energies, Bâtiments durable, … A ce titre, il participe à la mise en œuvre du programme RSE du Groupe appelé « PLANET 21 – Acting Here », déployé dans plus de 4200 hôtels, auprès de plus de 250.000 collaborateurs, répartis dans près de 100 pays.
Jérôme BEILIN – Directeur du développement EcoAct
Business Development Director chez EcoAct, Jérôme possède près de 10 ans d’expérience dans l’accompagnement, la mise en œuvre et la valorisation de stratégie de développement durable et stratégies carbone auprès de PME, ETI et grands groupes.
Il a piloté plus de 60 missions de conseil en stratégie carbone, pour le compte d’entreprises, collectivités et établissements publics, comme le Groupe la Poste, DPD Group, SNCF Réseau, Carlson Wagonlit Travel, Renault, Transdev, Atos, Gecina, Natixis Asset Management et bien d’autres.
Jonathan GUYOT - Chargé de solidarité climatique du GERES
Ingénieur forestier de formation, ayant débuté sa carrière en tant que consultant international dans les domaines des changements climatiques et du développement solidaire, Jonathan entreprend depuis plus de 6 ans de créer des points de convergences entre les ONG de développement et le secteur privé.
Au GERES depuis 2016, en tant que chargé de développement, Jonathan anime le mouvement de la Solidarité climatique et accompagne le développement du programme de compensation carbone CO2Solidaire.
➜ RETOUR SUR LE PROGRAMME COMPLET DU 3 OCTOBRE
➜ LE PROGRAMME DE L'ÉDUCTOUR DU 4 OCTOBRE
● QUI SONT LES ANIMATEURS ?
● PLÉNIÈRE - RSE : DES INITIATIVES INSPIRANTES POUR MOBILISER VOS COLLABORATEURS
● ATELIER 1 - TRANSFORMER LE DÉVELOPPEMENT DURABLE EN EXPÉRIENCE CLIENT !
● ATELIER 2 - ADAPTATION CLIMATIQUE : COMMENT FAIRE ÉVOLUER SON OFFRE ?
● ATELIER 3 - COMMENT FINANCER MA DÉMARCHE DE TOURISME DURABLE ?
● ATELIER 6 - TOURISME DURABLE : COMMENT TRAVAILLER AVEC LES INFLUENCEURS ?
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UTD 2017 - PRÉSENTATION DE L'ATELIER 2
ADAPTATION CLIMATIQUE : COMMENT FAIRE ÉVOLUER SON OFFRE ?
[14H15 - 15H45]INTERVENANTS
ANNE KONITZ - Déléguée de la communication et du mécénat AU Conservatoire du Littoral
Après des études d’architecture, de paysage et de géographie, Anne Konitz exerce successivement les métiers d’architecte et de paysagiste jusqu’en 1998.
Elle rejoint en 1999 le Conservatoire du littoral, l’établissement public national en charge de la préservation du littoral français où elle est en charge des études scientifiques. Elle dirige depuis 2003 la communication et le mécénat du Conservatoire du littoral.
Elle a participé à l’ouvrage collectif Les jardins du littoral en 2001 et ainsi qu’à L’Encyclopédie du littoral en 2010, grand prix du livre de tourisme 2015, tous deux aux éditions Actes Sud.
Caroline Heller - CHARGÉE DE MISSION développement durable AU COMITÉ RÉGIONAL DU TOURISME DE BRETAGNE
Diplômée d’une maîtrise en communication, Caroline est arrivée au CRTB en 2003 en qualité de chargée de mission des filières (tourisme d’affaires, golf, ...) et des marchés étrangers. En 2008, elle décide de se réorienter en passant un master Management du développement durable.
Depuis, Caroline contribue au déploiement et à la structuration de l’offre Tourisme durable et anime le site Voyagez Responsable. Elle pilote des projets transversaux comme "En Bretagne sans ma voiture" et "Sites d’exceptions" en lien avec le Conseil Régional. Elle assure également la coordination du dossier algues vertes en lien avec le Conseil régional et conduit la stratégie interne de développement durable, qui vaut au CRT d’être certifié Green Globe depuis 2012.
Camille Rey-Gorrez - Directrice de l'association Mountain Riders
Iséroise de naissance et savoyarde d’adoption, la montagne a toujours était un pilier de sa vie. Contemplative ou active, Camille Rey-Gorrez pratique depuis toujours ce terrain de jeu si précieux.
Après des études entre Lyon et Grenoble liant management, communication et économie de la montagne, différentes expériences auprès d’associations, d’entreprises et de collectivité du secteur de la consommation responsable et de l’industrie de la montagne l'ont conduit a lier les deux. C’est ainsi qu'elle intègre l’association Mountain Riders en 2010. L’enjeu de la transition qui s’offre à nous est une grande opportunité de mieux être individuellement de mieux faire collectivement et cela l’anime au quotidien. Aujourd’hui notre défi et de semer des graines de changement, à notre niveau et avec humilité, auprès des enfants et des jeunes ainsi que des acteurs des territoires pour un tourisme de montagne plus responsable.
JEAN-BAPTISTE BONNIN - COORDINATEUR DE L'ASSOCIATION IODDE
Originaire de l’île d’Oléron, Jean-Baptiste Bonnin travaille depuis 30 ans dans le domaine associatif sur le développement durable.
Il a accompagné différentes collectivités pour mettre en place leurs Agendas 21 et stratégies d’aménagement. Le travail de fond mené avec tous les acteurs du tourisme porte ses fruits : les comportements de loisirs évoluent, les acteurs montent en compétences, et Oléron prend conscience de sa vocation pédagogique vis-à-vis de la question climatique.
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➜ LE PROGRAMME DE L'ÉDUCTOUR DU 4 OCTOBRE
● QUI SONT LES ANIMATEURS ?
● PLÉNIÈRE - RSE : DES INITIATIVES INSPIRANTES POUR MOBILISER VOS COLLABORATEURS
● ATELIER 1 - TRANSFORMER LE DÉVELOPPEMENT DURABLE EN EXPÉRIENCE CLIENT !
● ATELIER 3 - COMMENT FINANCER MA DÉMARCHE DE TOURISME DURABLE ?
● ATELIER 4 - ÉVALUER, RÉDUIRE ET COMPENSER SES ÉMISSIONS DE CO2
● ATELIER 6 - TOURISME DURABLE : COMMENT TRAVAILLER AVEC LES INFLUENCEURS ?
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UTD 2017 - PRÉSENTATION DU PREMIER ATELIER
TRANSFORMER LE DÉVELOPPEMENT DURABLE EN EXPÉRIENCE CLIENT !
[14H15 - 15H45]INTERVENANTS
CAROLINE LE ROY - Chargée de mission tourisme durable au PNR Livradois Forez
Après plusieurs voyages à l'étranger et un intérêt particulier pour l'économie et la géopolitique, je me tourne vers le secteur touristique. Arrivée en 2014 dans l’équipe du Parc naturel régional Livradois-Forez, je suis actuellement en charge de la coordination stratégique du tourisme durable et de l’animation du réseau informel des « Coccinelles du Livradois-Forez, notre intelligence collective au service du territoire ». Ma mission est d’accompagner ces acteurs au quotidien grâce à la qualification des offres et des services touristiques et de leur mise en réseau (le fameux GLOCAL !)..
Mon défi professionnel est de développer un tourisme respectueux de la planète et des hommes grâce aux missions de conseil aux professionnels sur les nouvelles tendances touristiques et sur les attentes des clientèles toujours plus exigeantes.
Cécile GIBERT - Fondatrice de CG Style
Ingénieur designer de formation, Cécile commence sa carrière chez LOREAL LUXE INTERNATIONAL où elle y développe des produits cosmétiques de luxe. Elle apprend ainsi pendant cinq ans les notions d’image, de perception et de représentation avec le leader mondial de la beauté.
Passionnée et entrepreneuse, elle se forme alors au conseil en image personnel et professionnel en 2010, et exerce depuis le coaching individuel et la formation de groupe auprès de nombreuses entreprises.
Toujours dans le désir d’aller plus loin, elle crée en 2016 son cabinet CG STYLE avec un concept innovant : la création de dress codes identitaires et originaux pour les marques. Avec Cécile, le sujet vaste, et souvent délicat, de l’image de vos équipes, sera abordé avec autant de créativité que de rigueur !
MARIE CLAIRE MERCIER - PROPRIETAIRE DES Suites de Campagne Les Eydieux
Marie Claire Mercier a un parcours riche et varié : diverses formations (Histoire de l’Art à Poitiers, ICART, Ecole du Louvre, Ebénisterie), expériences professionnelles (Animateur en Club Hippique, Chargée de projets et Commerciale pour une entreprise de Jeux de Plein Air auprès des Collectivités) formations spécifiques (d’Anier, d’Equitation Comportementale, de Soins Ayurvédiques..), elle est aussi impliquée pleinement dans la vie associative (membres du CA du CRDT Auvergne, représentante des OT du Puy de Dôme à Auvergne Rhône Alpes Tourisme et Présidente de l’OT des Combrailles.
Depuis 2004, c’est très naturellement qu’elle met en place avec son mari l’activité d’hébergement touristique sous forme de Chambres d’Hôtes sur ce beau territoire des Combrailles. Leur volonté étant de partager avec un plus grand nombre, la qualité de vie à laquelle ils font déjà participer leurs proches.
Ils s’efforcent de contribuer au développement durable : utilisation de bois des scieries environnantes, de la pierre de Volvic et appel aux artisans locaux pour la restauration de leurs bâtiments, économies d’énergie, valorisation et promotion des producteurs locaux, activités "découverte locale" etc. Ils développent également des Chaufferies Centralisées sur réseau à partir de Bois Déchiqueté.
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➜ LE PROGRAMME DE L'ÉDUCTOUR DU 4 OCTOBRE
● QUI SONT LES ANIMATEURS ?
● PLÉNIÈRE - RSE : DES INITIATIVES INSPIRANTES POUR MOBILISER VOS COLLABORATEURS
● ATELIER 3 - COMMENT FINANCER MA DÉMARCHE DE TOURISME DURABLE ?
● ATELIER 6 - TOURISME DURABLE : COMMENT TRAVAILLER AVEC LES INFLUENCEURS ?
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UTD 2017 - PRÉSENTATION DE L'ATELIER 3
COMMENT FINANCER MA DÉMARCHE DE TOURISME DURABLE ?
[14H15 - 15H45]INTERVENANTS
Marine DE BEAUFORT - FONDATRICE de VOY’AGIR
A 30 ans, Marine de Beaufort, la fondatrice de Voy'Agir, est avant tout une citoyenne du monde, engagée pour un monde meilleur. Diplômée d’un Master de Recherche en Stratégie d’Entreprise à Dauphine et d’un Master en développement durable, elle a quitté sa carrière de consultante SI à Paris pour faire du tourisme durable son cheval de bataille.
Après avoir fait de l’humanitaire et travaillé sur les sujets de management de la Diversité dans l’entreprise, c’est le constat, fait pendant un voyage de 4 mois en Amérique Central, et lors de la réalisation d’une étude sur l’écotourisme, que le tourisme responsable est un outil de poids pour changer les comportements et avoir un impact réel au niveau mondial, qui la décide à créer la startup Voy’Agir. Par ailleurs, les bonnes pratiques qu’elle souhaite déployer pour tous les voyageurs, sont celles qu’elle applique au quotidien avec son compagnon, sans jamais tomber dans l’extrême, ni se prendre la tête.
Frédéric Vaissade - Président de GOODPROJECT
Frédéric accompagne des projets à impact positif en terme social et environnemental pour les aider à trouver des financements (depuis la recherche d'opportunités jusqu’à la rédaction de dossier puis aux relations avec les financeurs).
Les domaines principaux dans lesquels il intervient sont le développement durable et le numérique, dont un segment sur le tourisme durable. Il travaille sur tout type de financement, avec un intérêt particulier pour les financements alternatifs/complémentaires : financements européens, crowdfunding, prix et concours, fondations, ...
FRANÇOIS BRU - directeur d'AUVERGNE ACTIVE
Diplômé de Polytech Tours, avec un DEA et un Doctorat notamment, et des expériences professionnelles entièrement dédiées à l’Aménagement et au Développement Urbain, François Bru développe une forte expertise dans le domaine. Ce qui le conduit à devenir Directeur de cabinet de la Mairie d’Aurillac puis Chargé de mission et Directeur Adjoint au Conseil Régional d’Auvergne. En parallèle, il partage ses compétences dans la formation et l’apprentissage.
Il est aujourd’hui Directeur Régional en Auvergne de France Active, fonds régional spécialisé dans le développement territorial et l’économie sociale et solidaire (TPE/PME/ ESS) sur 4 départements.
Olivier GILLET - Ingénieur energie et tourisme à l'ADEME
Ingénieur INSA, après un passage dans le privé, Olivier Gillet se spécialise grâce au Mastère (de l’INSA Lyon également) « Management de l’Environnement et de l’Eco-Efficacité Energétique ». En charge principalement des déchets automobile au siège de l’ADEME jusqu’au début des années 2000, il choisit la Direction Régionale R-A (maintenant AuRA) pour y développer 2 grandes thématiques bien différentes : l’énergie en entreprise d’une part, le secteur du tourisme d’autre part, ce dernier, outre son importance en terme de PIB et emploi régional présente un grand nombre d’impacts sur l’environnement, qu’il s’agisse de tourisme estival comme hivernal. Depuis quelques années, il est également en charge de l’ensemble des sujets environnement-énergie sur un territoire extrêmement touristique : la Tarentaise-Vanoise.
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➜ LE PROGRAMME DE L'ÉDUCTOUR DU 4 OCTOBRE
● QUI SONT LES ANIMATEURS ?
● Plénière - RSE : DES INITIATIVES INSPIRANTES POUR MOBILISER VOS COLLABORATEURS
● ATELIER 6 - TOURISME DURABLE : COMMENT TRAVAILLER AVEC LES INFLUENCEURS ?
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UTD 2017 - PRÉSENTATION DE L'ATELIER 6
TOURISME DURABLE : COMMENT TRAVAILLER AVEC LES INFLUENCEURS ?[16H30 - 18H]
INTERVENANTS
Célia TICHADELLE & Stanislas LUCIEN - Directeurs de Travel Insight
Passionnés par le digital et l’entreprenariat, Célia et Stanislas ont acquis diverses expériences dans le domaine en tant que community manager freelance et blogueuse, pour elle, et consultant en stratégie digitale, pour lui, tout deux en collaborant avec des professionnels du tourisme.
Après l’obtention de leur MBA International Travel Management à l’ESCAET, Célia devient chargée de communication digitale pour Ceetiz, Rendezvouscheznous ou encore la Boutique RP et Stanislas développe FeedTravel, une application mobile B2B qui agrège toute l’actualité du tourisme.
Par la suite, ils décident de regrouper leurs expertises marketing et webmarketing, pour créer ensemble Travel Insight, l’agence de communication digitale des professionnels du tourisme. Positionnée sur les secteurs du Leisure et du Corporate travel, elle propose entre autre une offre particulière de collaboration et de mise en relation sur-mesure avec blogueurs et influenceurs du secteur.
MarYne ARBOUYS & Jules BLOSEUR - Fondateurs d'Explore le Monde
Bloggeurs voyage depuis 2015 à l'occasion d'un road trip solidaire de 6 mois en stop en Amérique du Sud, Jules et Maryne s'engagent régulièrement dans des projets répondant à des problématiques environnementales et/ou sociales depuis leur retour.
Leur blog est leur moyen de diffusion et de sensibilisation n°1 mais aussi un recueil de carnet de voyages, de conseils et d'expériences, toujours dans l'esprit que voyager peut et doit se faire dans le respect des communautés locales et de leur environnement.
Jessica POMMIER - Fondatrice Mes Ptits bouts du monde
Après un début de carrière dans le marketing pour enfants chez TF1 et Disney à Paris, elle décide un jour de tout plaquer pour partir vivre un rêve : créer un projet de web-émission de voyage pour toute la famille, fun et accessible « Mes Ptits Bouts Du Monde ». De responsable marketing, elle devient alors volontairement nomade.
Elle part sac sur le dos en voyage en solo dans 13 pays pendant un an. Ambassadrice de l’association "L’enfant @ L’Hôpital" avec qui elle partage ses découvertes, et chroniqueuse pour Kitchen Trotter pour qui elle goûte des mets insolites, elle partage ses récits en vidéos avec plus de 40 000 followers sur les réseaux sociaux et devient alors blogueuse voyage.
Les rencontres avec les locaux ont toujours été au cœur de ses voyages et c’est ce qui lui a permis de devenir récemment Exploratrice Solidaire pour l’organisme Village Monde. Sa mission ? Partir au Nicaragua pendant un mois et demi dans des communautés reculées à la recherche d’initiatives touristiques responsables hors des sentiers battus.
Un sujet toujours très actuel qui fait appel à des intervenants que l'on n'aurait jamais imaginé présents plusieurs années auparavant. Dans un monde de plus en plus connecté, où l'information circule à très grande vitesse, ils deviennent aujourd'hui presque incontournables tant leur influence est importante et grandissante. De vrais ambassadeurs et sources d'inspiration pour ces voyageurs à la recherche d'une véritable expérience avant, pendant et après voyage.
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➜ LE PROGRAMME DE L'ÉDUCTOUR DU 4 OCTOBRE
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➜ RSE : DES INITIATIVES INSPIRANTES POUR MOBILISER VOS COLLABORATEURS
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UTD 2017 - Présentation de la plénière d'ouverture
RSE : DES INITIATIVES INSPIRANTES POUR MOBILISER VOS COLLABORATEURS[10h45 – 12h15]
Les intervenants
DELPHINE JOANNET - RESPONSABLE RSE DE VVF VILLAGES
Delphine Joannet a un parcours assez atypique au sein de VVF Villages : après avoir intégré divers services en tant que guide accompagnatrice, conseillère vacances, chargée de missions marketing et membre du service Recherche et Développement, elle devient en septembre 2015, la Responsable RSE.
Les expériences vécues à travers ces divers postes sont de vrais bénéfices pour les missions actuelles de Delphine : connaissance des services/salariés, du terrain et liées au dialogue social et institutionnel.AUDREY GAUNOT - RESPONSABLE DU SERVICE MARKETING ET COMMUNICATION DE CHAMINA VOYAGES
C'est à Marrakech, devant les murs gardés d'un complexe hôtelier, qu'Audrey Gaunot décide de quitter les bancs de la fac d'histoire pour rejoindre ceux du tourisme avec une obsession : œuvrer pour un tourisme qui favorise la rencontre, le respect de l'environnement et la juste répartition des richesses. Son année d'échange universitaire à Séville se terminant, elle s'oriente naturellement sur la formation de Clermont Ferrand, proche de ses terres natales. C'est au fil de discussions étudiantes qu'Audrey découvre Chamina Voyages et y effectue son premier stage. Dans cette entreprise spécialisée dans le voyage à pied, la responsabilité touristique est une évidence, c'est le coup de foudre. Audrey termine ses études par un master de management et marketing en alternance portée par l'envie d'apporter un maximum de compétences complémentaires à Chamina Voyages. Elle dirige depuis 2011 le service marketing communication avec la même passion.
GRÉGORY DISSOUBRAY - RESPONSABLE DU SERVICE COMMERCIAL DE ENERCOOP
Passionné par l'énergie, Grégory DISSOUBRAY s'engage en faveur de la transition énergétique, auprès d'acteurs reconnus, tels que : l'Association NégaWatt et Énergie Partagée. Il travaille depuis 11 ans dans le secteur de l'énergie, d'abord pour GDF SUEZ, puis Poweo pour finalement rejoindre Enercoop en 2008 en alliant convictions et vie professionnelle.
Il coordonne aujourd'hui le commerce aux professionnels chez ce fournisseur d'électricité coopératif, le seul à proposer une offre 100 % d'origine renouvelable en s'approvisionnant directement et uniquement auprès de producteurs hydraulique, éolien, photovoltaïque, et biogaz.JÉRÔME LACHAZE - RESPONSABLE développement durable DU COMITÉ DE CANDIDATURE PARIS 2024
Jérôme Lachaze est titulaire de 2 Masters en développement durable et Commerce International. En 2006, il créé le projet Jeunes de la Terre, qu’il a mené dans 12 pays à la rencontre de 50 jeunes impliqués dans le développement durable. En 2007, il rejoint le WWF France où il est désigné, en 2009 pour mener la politique sport et créer le Pandathlon, contribuant à protéger des zones naturelles. En 2014, il intègre l’UNICEF France pour diriger l’équipe acquisition et lancer la Team UNICEF France et a lancé la 1ère course connectée au Monde, la Team UNICEF World Run. Passionné de Sport et d’Environnement, il croit dans le sport comme formidable opportunité de délivrer un message positif et engagé sur le développement durable. Depuis Février 2016, il est responsable développement durable au comité de Candidature Paris 2024, en charge de la stratégie Environnementale, de l’engagement des parties prenantes et du système de management ISO 20 121.
Plusieurs animateurs et intervenants experts des thèmes abordés ont été choisis pour rendre ces échanges dynamiques et participatifs. A la suite du discours d'ouverture présentant le contexte et les enjeux du tourisme durable en 2017, la journée du 3 octobre commencera activement par cette plénière "RSE : Des initiatives inspirantes pour mobiliser vos collaborateurs (salariés, clients, fournisseurs, territoires)". Un sujet fort et rassembleur pour mobiliser et impliquer tous les participants présents à l'événement.
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There is no planet B - ATD lance sa première campagne de crowdfunding !
POUR UN TOURISME PLUS RESPECTUEUX DE LA NATURE ET DES HOMMESEn continuelle expansion, le tourisme participe au développement des pays et au renforcement des échanges. Mais il entraine souvent des conséquences négatives pour la destination. Aller dans le sens d’un tourisme plus durable, c’est maintenir ce qui fait la richesse et la diversité des pays, et agir pour les pérenniser.
Cette année, proclamée « 2017, Année Internationale du Tourisme Durable pour le développement » par l’ONU, est une date importante pour mener un plan d’actions ambitieux. Le Tourisme Durable est une réalisation collective qui doit rassembler le plus grand nombre : pour réussir cette transition, nous avons tous un rôle majeur à jouer !
Aujourd'hui, nous avons besoin de vous pour poursuivre cette dynamique.
5€, 10€, 100€, 1 000€ ... il n'y a pas de petit don, chaque participation compte !
En échange de vos dons, nous vous promettons des rencontres d’exception. À l’occasion d’événements uniques, vous pourrez échanger avec ces personnes qui font vos vacances, découvrir comment le développement durable s’applique à leur métier et vivre des expériences de terrains : inscription offerte aux prochaines Universités du Tourisme Durable, invitation VIP à la soirée de remise des premières Palmes du Tourisme Durable, ou participation au tournage de la saison 2 de la websérie « Tous acteurs du Tourisme Durable » aux côtés de blogueurs et acteurs du tourisme durable !Le tourisme de demain sera durable ou ne sera pas !
Un grand MERCI à vous tous !
Participer à la campagne de crowdfunding
UNIVERSITÉS DU TOURISME DURABLE 2017 : LE PROGRAMME DE L'ÉDUCTOUR CLERMONTOIS A DÉCOUVRIR !
PARTEZ À LA RENCONTRE DES ACTEURS LOCAUX ENGAGÉS ET DES RICHESSES DU TERRITOIRE CLERMONTOISPays des volcans, la ville offre un panorama exceptionnel sur le Puy de Dôme et la chaîne des Puys, et offre un cadre de vie convivial, dynamique et ressourçant. Première en France à rejoindre le réseau mondial des « villes apprenantes » de l’UNESCO, Clermont-Ferrand s’engage à partager et à transmettre son savoir-faire et ses bonnes pratiques. Les acteurs locaux prennent également part à ce projet et développent des actions toujours plus respectueuses pour préserver et valoriser les richesses du territoire. Pour participer à cette dynamique, le deuxième jour des universités du tourisme durable sera consacré à la rencontre de ces initiatives clermontoises durables.
PROGRAMME DE L'ÉDUCTOUR - En PARTENARIAT AVEC CHAMINA VOYAGES
le matin - départ prévu à 8H
Innovation et tourisme durable : Présentation des Cabanes du Bois Basalte
Le « bois basalte » naît de la rencontre entre un site d’exception, entre Chaîne-des-Puys et pays des Combrailles, et de quatre jeunes architectes mus par l’envie de proposer des espaces ludiques et originaux impactant le moins possible sur leur environnement. Un défi réussi pour ces cabanes design et écologiques nichées dans les bois et labélisées Nattitude.
Cabanes du Bois Basalte
Les Espaces Naturels Sensibles en Auvergne : l’exemple de l’Étang Grand de PulvérièresL’étang Grand de Pulvérières est un milieu humide remarquable au cœur du Parc Naturel Régional des Volcans d’Auvergne, labélisés Espace Naturel Sensible en raison de l’exceptionnelle profusion d’espèces d’oiseaux, d’insectes et de batraciens qu’il abrite. Présentation du site et des actions mises en place pour préserver la biodiversité de cet espace fragile.
© Office de Tourisme des Combrailles
LE MIDI
Déjeuner local à Archipel Volcans
Au pied du puy de Dôme, Archipel Volcans est un hébergement Gite de France 4 épis, labélisé Nattitude, qui allie confort, convivialité et approche écologique dans un environnement incomparable.
Archipel volcan
L'APRÈS-MIDI
Un exemple de conciliation entre fréquentation touristique et préservation de sites naturels : le puy de Vichatel.
Dans le cadre de la gestion d’un site classé pour ses paysages et d’une démarche de candidature à l’inscription de la Chaine des Puys au Patrimoine Mondial de l’Unesco, visite du Puy de Vichatel et présentation des démarches et actions menées pour tenter de concilier tourisme et préservation et valorisation d’un patrimoine naturel exceptionnel.
La Chaîne des Puys
N.B. Prévoir des chaussures adaptées à la marche en extérieur pour la journée.Retour prévu à Clermont-Ferrand à 17H.
LE PROGRAMME DE LA PREMIÈRE JOURNÉE DES UTD CONSACRÉE AUX TABLES RONDESLES ANIMATEURS DES ATELIERS - PREMIÈRE JOURNÉE DES UTD
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Universités du Tourisme Durable 2017 : Découvrez les animateurs
1 plénière d’ouverture, 6 ateliers, 6 experts du tourisme durable
Découvrez les animateurs en quelques lignes
Clémentine CONCAS, DIRECTRICE RSE DU GROUPE BARRIÈREClémentine CONCAS est la Directrice développement durable du Groupe Barrière depuis plus de 2 ans. Après l’obtention d’un Master professionnel en Développement et Aménagement touristique des territoires, une spécialisation et du conseil dans le développement durable appliqué au tourisme, elle est aujourd’hui en charge de la stratégie RSE du groupe.
A travers des témoignages et son expertise, elle abordera le sujet suivant : "Transformer le développement durable en expérience client".
Hubert VENDEVILLE, DIRECTEUR DE BETTERFLY TOURISM
Après plus de 4 ans chez EVEA, ancienne maison mère de Betterfly Tourism, en tant que consultant puis responsable d’agence, Hubert s’associe à la création de la filiale tourisme. Au sein de l’entreprise, son rôle consiste à piloter l’équipe et les projets stratégiques, et à faire le lien avec les institutionnels et les grands groupes (Ministères, Nations Unies, Chaînes et réseaux).
En plus d’une animation sur le gaspillage alimentaire lors du déjeuner, il invitera les participants à échanger autour de : "L’adaptation climatique : comment faire évoluer son offre ?".
Christophe BONNAFOUS, DIRECTEUR DE T&D - TOURISME ET DÉVELOPPEMENT
Christophe BONNAFOUS, fondateur et gérant de T&D Tourisme & Développement, accompagne les acteurs du tourisme et de l'hôtellerie (Club Med, Accor), en France et à l'international, qui souhaitent inscrire leur développement dans une démarche durable et se labelliser.
De façon dynamique et participative, il abordera la problématique du : "Financement de sa démarche de tourisme durable".
Béatrice Héraud, Rédactrice en chef pôle RSE de novethic
Journaliste pour Novethic depuis 2009, Béatrice suit particulièrement les sujets climat et RSE. Elle est aussi spécialiste des droits humains appliqués aux entreprises.
Diplômée du Centre de Formation des Journalistes (CFJ) et de l'Institut d'Etudes Politiques de Rennes, Béatrice a également travaillé pour Marketing Magazine et différents médias économiques (BFM Radio) et régionaux (Ouest-France et Sud-Ouest).
Avec plusieurs intervenants, elle présentera : "Comment évaluer, réduire et compenser ses émissions de CO2".
Delphine JOANNET, RESPONSABLE RSE DE VVF VILLAGES
Delphine a un parcours assez atypique : après avoir intégré divers services chez VVF Villages (guide accompagnatrice, conseillère vacances, chargée de missions marketing, membre du service Recherche et Développement), elle devient en septembre 2015, la Responsable RSE.
Très engagée sur les enjeux du tourisme durable, notamment au niveau social (élue au CE, représentante des salariés), elle animera le débat : "Français qui ne partent pas en vacances : quelles opportunités pour les professionnels du tourisme ?".Guillaume CROMER, DIRECTEUR GÉRANT DU CABINET ID-TOURISM
Spécialisé sur les questions du développement durable et de l’innovation dans le secteur, il tente d’analyser au mieux les "signaux faibles" de la société pour accompagner les acteurs de l’industrie vers le changement. Très présents sur le web : site, blog et réseau sociaux, il est également l’invité de nombreux évènements tels que Les Assises Nationales de la Biodiversité, la conférence du SETO à l'IFTM Top Résa, où il sait valoriser son engagement.
C’est donc tout naturellement qu’il animera l’atelier "Tourisme durable : comment travailler avec les influenceurs ?".Venez faire évoluer l’industrie du tourisme durable ! Inscrivez-vous !
VVF villages incite ses salariés à passer aux voitures personnelles hybrides !
Comment est favorisée l’incitation ?
En accordant aux salariés des conditions de coût locatif, extrêmement attractives, équivalentes aux conditions appliquées à sa propre flotte de véhicules professionnels, intégrant : la location, maintenance/assistance et assurance.
Concrètement, pour un usage personnel, un salarié va bénéficier ainsi d’une location mensuelle avec une réduction pouvant atteindre jusqu’à 58% par rapport à une location prix grand public, maintenance/assistance et assurance inclues.
Pour se faire, VVF villages assume toute la gestion administrative et les négociations avec le loueur mais porte également le surcoût concernant les assurances, en cas de dépassement des sinistres.
Quand ?
La proposition vient d’être envoyée aux 350 salariés permanents et a reçu un 1er accueil positif, notamment au siège où déjà 30 salariés se sont déclarés intéressés. Quant aux véhicules, ils leur seront livrés courant novembre 2017. VVF villages amorcera également prochainement une facilité d’accessibilité à l’achat, cette fois-ci, auprès de ses salariés saisonniers, avec des réductions de 7 à 16% en fonction des modèles.
Pourquoi ?
Dans le cadre de sa démarche RSE, VVF villages apporte des réponses concrètes à des enjeux sociétaux (accessibilité / fabrication française) et environnementaux (réduire l’impact des gaz à effet de serre sur le réchauffement climatique / contribuer à l’amélioration de la qualité de l’air).
A travers cette mesure incitative et responsable, VVF villages passe ainsi à l’acte en soutenant la récente déclaration de Nicolas Hulot, Ministre de la transition écologique, annonçant la disparition des véhicules essence et diesel d’ici 2040, qui vise à défendre les Accords de Paris.
Les Jeux Olympiques de 2024 à Paris : inclusifs et durables ?
Twitter chat #TDTC « Tourisme Durable & Paris ville candidate aux Jeux Olympiques de 2024 »Pour vous, la candidature de Paris 2024 est-il un projet porteur de sens ? Quels messages souhaiteriez-vous envoyer au monde ?
Si la candidature de Paris comme lieu d’accueil des Jeux Olympiques 2024 fait la fierté de la France, certaines réticences se font tout de même ressentir au niveau des habitants. Cet évènement de grande ampleur, avec un budget estimé à 6,2 milliards d’euros, fait face aux critiques.
Paris 2024 paraît aux yeux de certains comme un outil de communication et de promotion à titre économique seulement [Ecotourism Velo]. Les nouvelles infrastructures inquiètent les habitants : combien vont-elles coûter ? Seront-elles durables et réutilisées dans l’après JO ou vont-elles être laissées à l’abandon ? [Laurie Tourisme] [Cédric T.]
Pour lutter contre ces a priori, le Comité Paris2024 explique le projet à travers un message fort. Les Jeux Olympiques de 2024 sont plus qu’un événement sportif, ils sont porteurs d’une vision positive sur le long terme « des Jeux pour durer », où l’héritage aux générations, dites « Génération 2024 », est central.
Le Comité prévoit bien d’adapter les Jeux Olympiques au territoire qui les organise et non l’inverse. Le but étant de laisser un héritage durable répondant aux besoins de la ville hôte et de ses habitants. Un message important sur lequel le Comité insiste. [Jérôme Lachaze]
3 piliers sont porteurs du projet : une société meilleure par le sport, inclusive et solidaire, et pour l’environnement. Des Jeux donc qui intègrent les enjeux du développement durable.
On parle de jeux inclusifs et durable…Concrètement, ça veut dire quoi ?
Le lien entre Jeux Olympiques et développement durable n’est pas forcément le premier auquel on pense. [Cédric T.] Pourtant, en plaçant le développement durable au cœur du projet, les Jeux de Paris représentent une opportunité d’accélération de transformation écologique des territoires.
Pour preuve, une stratégie de durabilité a été élaborée en se basant sur 38 objectifs portés par un concept sobre et compact, et une stratégie environnementale co-construite avec plus de 1 500 personnes (collectivités, associations, secteur privé, start-ups, secteur public, écoles, etc.).
Ces 38 objectifs sont répartis en 5 programmes stratégiques : climat, infrastructures durables, sites naturels et qualité de vie, économie circulaire et gestion des ressources, mobilité durable, et emploi et formation. [Jérôme Lachaze]
Concernant l’empreinte carbone, une estimation a été faite. Les prévisions carbones se basent sur des expériences précédentes, comme par exemple le nombre de personnes attendues, leur provenance, ou d’autres infrastructures similaires. [Sara Duong]
Celui-ci a été établi sur le rapport des Jeux de Londres (2012) et en comparaison l’empreinte devrait être réduite à 55%. Il repose sur le concept sobre et compact qui vise à minimiser les émissions de gaz à effet de serre.
Et par la suite, une évaluation sera réalisée annuellement.
Autre exemple d’engagement pris par le Comité, l’héritage durable : une des grandes forces du projet. En effet, 95% des infrastructures utilisées pour les Jeux sont existantes. Le Centre Aquatique sera le seul équipement sportif à construire, toujours avec une vision sur le long terme. [Jérôme Lachaze]
Qu’en est-il des transports ? En sachant que l’évènement aura une portée internationale, ce point est à ne pas négliger dans une stratégie durable [Voyage Way].
Paris 2024 prévoit que 20% des visiteurs utiliseront l’avion. Pour compenser cela, 31 millions d’euros seront investis dans des projets solidaires et durables. Autre moyen de transport valorisé : le TGV. C’est en effet une grande force et un avantage concurrentiel pour Paris. [Jérôme Lachaze]
Grâce à cette stratégie, les Jeux Paris2024 seront les premiers à s’aligner sur l’Accord de Paris, dont l’objectif est de limiter la hausse des températures. De cette façon, et en faisant du développement durable son ADN, Paris se démarque face à la candidature de Los Angeles. [Sara Duong] [Jérôme Lachaze]
Croyez-vous que ces JO pourront permettre de faire de Paris une destination durable et solidaire ? Pourquoi ?
Faire de Paris une destination durable et solidaire est tout l’enjeu des Jeux 2024. Il y a une réelle volonté de créer une synergie en s’alignant sur les projets déjà mis en place par la ville, comme l’Accord de Paris, et ceux à venir.
Paris 2024 se veut être un événement rassembleur et accélérateur de la transformation écologique des territoires. Pour mener à bien ce projet, le Comité souhaite engager et fédérer les acteurs du tourisme dans cette démarche durable en s’appuyant notamment sur les actions réalisées lors de la COP21. Ainsi, pour rendre la destination durable et accueillante, et faire de Paris une ville exemplaire, tous les acteurs concernés seront impliqués. [Jérôme Lachaze]
Pour valoriser et engager les acteurs, un label durable sera créé permettant ainsi de valoriser l’offre hôtels et restaurants auprès des futurs visiteurs. Mais il ne faut pas oublier et ignorer les labels déjà existants [Sara Duong], c’est pourquoi il sera élaboré en collaboration avec les acteurs du tourisme et les collectivités en se basant sur les bonnes pratiques. Ce label perdura après les jeux afin de laisser un héritage. [Jérôme Lachaze]
Mais ce ne seront pas les seuls à être impliqués, Mais ce ne seront pas les seuls à être impliqués, il est attendu que toutes les parties prenantes puissent intervenir et participer au développement du projet (habitants, élus, commerçants, ...) pour que celui-ci soit accepté et porté par tous. Les acteurs de l’Economie Sociale et Solidaire, représentés notamment par Les Canaux,, ont également un rôle essentiel pour garantir des jeux accessibles et des retombées économiques bénéfiques au plus grand nombre. [Sara Duong]
Les acteurs de l’Economie Sociale et Solidaire sont également mobilisés, comme Les Canaux. Représentants d’une économie équitable et durable leurs objectifs premiers sont l’accessibilité pour tous et l’amélioration des infrastructures. Ils ont donc un rôle essentiel. [Sara Duong]
Selon vous, les habitants ont-ils été impliqués dans la candidature, quels rôles ont-ils à jouer et quels bénéfices peuvent-ils en attendre ?
Impliquer les citoyens dans l’organisation des Jeux fait partie des attentes des français.
Prendre en compte leurs avis, aller à leur rencontre, c’est les associer au projet et donc leur montrer que Paris 2024 n’est pas simplement une action de communication. [Cédric T.] C’est aussi rendre le projet compréhensible et fédérateur.
Le Comité s’engage à respecter cette volonté. Depuis sa candidature il mobilise la société civile à co-construire l’événement. En plus d’être rassembleur et accessible à tous, Paris 2024 souhaite être un projet collectif. [Jérôme Lachaze]
En phase de candidature, des dispositifs inédits et efficaces ont été mis en place afin de concerter l’avis des citoyens. Pendant 10 mois, une plateforme en ligne était accessible à tous. Après plusieurs milliers de votes, 100 propositions ont été retenues sur 3 thématiques différentes permettant alors d’enrichir et de renforcer le projet.
Des ateliers et des réunions dans les mairies et gymnases de toutes les régions de France ont également été organisés.
A cela s’ajoute l’implication d’associations environnementales locales dans le projet, comme la collaboration avec FNE Ile de France (France Nature Environnement Ile-de-France), fédération de plus de 400 associations, unions et collectifs nationaux, de protection de la nature et de l'environnement.
En termes de retombées, les bénéfices environnementaux seront directs et locaux, comme la qualité de vie (air et eau) ou l’alimentation, par exemple. Une stratégie zéro déchets a également été définie afin de limiter les impacts négatifs liés aux Jeux et de laisser ainsi un héritage durable post-événement. [Jérôme Lachaze]
En juin dernier, et dans le cadre de la journée mondiale de l'olympisme, ont eu lieu les journées olympiques à Paris. Deux jours de découverte sportive pour promouvoir la candidature de la capitale aux JO de 2024. Un événement populaire mais accessible principalement aux franciliens. Beaucoup regrettent que ces deux journées n’eues lieu qu’à Paris. [Ecotourism Velo] [Cédric T.]
Une inquiétude se fait alors ressentir : les jeux vont-ils seulement être bénéfiques aux parisiens ? Le Comité rassure. Pour des questions de logistiques, ces deux journées ont eu lieu à Paris, mais les Jeux Olympiques auront une portée beaucoup plus large avec des actions moins centralisées et accessibles à tous. [Jérôme Lachaze]
Plus qu’un projet olympique, c’est un véritable projet de société qui se construit.
Et demain, que doit-il rester de Paris 2024 (valeurs, aménagements...) ?
Demain, l’héritage Paris 2024 laissera son empreinte mais de façon positive.
L’innovation durable est un point fort des jeux. En ce sens, le village olympique sera un exemple pour le territoire, un modèle de destination durable pour le tourisme et de ville durable pour ses habitants en prônant des valeurs d'unité, de mixité, de qualité de vie et de respect de l’environnement.
L’héritage sera matériel et immatériel à travers la création d’une structure adaptée et d’une expérience qui engage durablement spectateurs, journalistes, athlètes et téléspectateurs.
Mais l’impact ne sera pas qu’en France ! Il se fera à l’échelle mondiale grâce à des projets alignés sur les ODD (Objectifs de développement durable - ONU). La capitale sera un véritable laboratoire, démonstrateur de ce à quoi ressemblera le monde durable de demain. [Jérôme Lachaze]
Note de Tendance Clef Verte #2
Le Tourisme durable, un phénomène de fondAlors que les Nations Unies font du tourisme durable le sujet majeur de cette année 2017, Clef Verte vous aide ici à déchiffrer les tendances qui montrent à quel point le développement durable est un phénomène de fond et donnent raison à tous les professionnels de l’hôtellerie d’y participer.
C'est l'objet de la Note de tendance que nous vous proposons aujourd'hui. Nous vous invitons à la parcourir, à vous en inspirer et à la partager largement autour de vous.
Quel avenir pour les stations de montagne ?
Twitter Chat #TDTC « Tourisme Durable & transition des Stations de Montagne »Selon vous, quelles sont les principales menaces qui pèsent aujourd’hui sur les stations de montagne ?
Depuis quelques années les stations de montagne font face à des évolutions qui remettent en question leurs modes de gestion et de fonctionnement. Tout d’abord une évolution de la clientèle avec de nouveaux modes de consommation qu’il faut prendre en compte. Si la durée des séjours reste relativement stable (6 jours), elle n’est plus seulement réservée aux vacances d’hiver mais également au Printemps. Et si le ski reste l’activité principale pour beaucoup, d’autres loisirs émergent fortement comme les randonnées à pieds ou en raquettes, la piscine, ou les Spa. Une part non négligeable des vacanciers viennent dorénavant en station pour se ressourcer en pleine nature, sans skier. Le « style » de la station est devenu également un critère important dans le choix des destinations de montagne, et les « petits villages » et « stations intermédiaires » ont maintenant la préférence sur les grands ensembles.
Autre challenge important, les stations doivent mieux s’intégrer dans l’environnement, que ce soit dans leur fonctionnement, que dans leur développement. Une part importante du bâti et des équipements doit être renouvelé dans un souci d’économie d’énergie, d’intégration dans le paysage, et de diversification des activités.
La menace principale reste bien sûr le changement climatique qui se traduit par des périodes d’enneigements de plus en plus courtes pendant la saison d’hiver. L’enneigement étant en baisse continu sur les massifs, cette tendance de fond est néanmoins masquée par des variations d’une année sur l’autre. Cette raréfaction de l’or blanc pèse plus que jamais sur les stations de basse et moyenne montagne car même la production de neige de culture ne sera plus une solution face à la montée des températures, à l’horizon de 2050.
En quoi la transition des stations est-elle inévitable ? Comment peut-on la réussir ?
Toutes les stations ne sont pas concernées de la même manière par la transition, ce qui passe par une étude au cas par cas. Cela nécessite une enquête de terrain approfondie afin de définir les facteurs d’évolution, de vulnérabilité, et les capacités d’adaptation de chaque station.
Pour mieux les cerner, un Observatoire des stations de sports d’hiver a été lancé. En compilant des données variées, il permet de mieux décrire et de comparer ces stations. Avec un objectif : donner des pistes aux politiques publiques pour orienter le développement de ces hauts-lieux du tourisme de montagne.
La réussite d’une transition passe par la définition d’un cadre d’évolution précis, en identifiant les modèles de développement possible. Et bien sûr par une concertation à tous les niveaux, et avec tous les acteurs.
En ce qui concerne l’Etat, la réussite de la transition passe par la réhabilitation des stations de montagne pour répondre aux enjeux de la transition écologique.
En quoi le tourisme durable et ses pratiques peuvent-ils encourager la transition des stations de montagne ?
Le tourisme durable peut favoriser l’évolution des stations de montagne vers un modèle de développement plus centré sur un tourisme « doux », basé sur la valorisation du patrimoine local, architectural, et environnemental. Il invite à la redécouverte des territoires par des activités qui ne sont plus basées sur le « Tout ski » et qui s’orientent vers une consommation plus responsable, et bien entendu qui peuvent favoriser l’économie locale hors station, en faisant vivre les artisans et producteurs de la région.
En ce qui concerne le patrimoine, la station des Arcs qui a obtenu le label de patrimoine du 20ème siècle, organise des visites pour faire découvrir son architecture et ses résidences datant des années 1970, et cela sur ses trois stations situées à des altitudes différentes. Des promenades sont également organisées pour admirer la vue sur la vallée ou le Mont-Blanc.
La croissance des activités de nature et du nombre de ses pratiquants ne peuvent qu’encourager la transition des stations vers un autre modèle plus respectueux de l’environnement. De même le développement des transports en commun pour accéder aux stations, et la mise à disposition de deux roues peuvent améliorer la qualité du séjour, et limiter l’impact des GES.
Le développement de ces activités « durable » qui peuvent se pratiquer hors-saison ont l’avantage d’étaler la fréquentation touristique dans le temps et d’éviter les pics de concentration dans un espace restreint, comme ceux du mois de février. Cela permet également de maintenir des commerces, et une vie locale toute l’année.
Connaissez-vous des exemples de stations en France ou ailleurs qui ont engendré une vraie transition de modèle ?
Il n’y a pas de station idéale, et par là même de modèle général de transition. L’Irstea étudie les stations des Alpes au cas par cas pour mieux les caractériser, et penser leur développement. A cet effet il existe un atlas des stations, le « StationoScope », celui-ci dresse le portrait des stations sous différents angles, comme celui des domaines skiables, de la gouvernance, des dynamiques locales, de l’environnement. Cette multitude de données dresse un portrait de la santé des stations : bâti, âge des remontées mécaniques, altitude, front de neige, en sont des exemples. Cet outil a été mis à la disposition des acteurs publics et privés sous forme interactive et gratuite, en plus d’être régulièrement actualisée, un module d’analyse territoriale y a été ajouté. Cela permet d’avoir des données fiables pour encourager la concertation vers une transition de modèle.
Des initiatives de transition ont vu le jour, et d’autres sont en cours, dans le domaine des transports pour rejoindre les stations, comme dans le domaine des économies d’énergie. Le bilan carbone d’un séjour de ski nous apprend que 22% des émissions sont dues au chauffage dans les bâtiments. Des solutions innovantes fleurissent dans les stations, comme à Avoriaz qui investit dans une chaufferie centralisée bi-énergie bois/électricité. La station de la Plagne quant à elle s’est dotée d’une chaufferie biomasse.
Dans la construction des futurs bâtiments, les stations sont désormais plus vigilantes aux normes et aux labels respectueux de l’environnement. Bâtiment basse consommation (BBC) comme à la Maison du Tourisme et la garderie des Menuires, ou certifiés HQE (Haute qualité environnementale) comme l’hôtel Altapura à Val Thorens ou le complexe de loisirs de la Bresse.
Demain, à quoi ressemblera une station de Montagne nouvelle génération ?
La situation sera certainement contrastée, certaines stations seront toujours fondées sur la pratique du ski, et leur compétitivité maintenue grâce à une situation géographique et climatique favorable, c’est le cas général des stations de haute montagne.
Pour les autres, les stations de basse et moyenne montagne, il faudra réinventer un nouveau modèle économique basé sur la diversité des activités à proposer aux touristes, et sur une dynamique résidentielle plus forte afin de renforcer l’économie locale.
En attendant, le centre Irstea de Grenoble et le cluster Montagne, réunissant des professionnels de l’aménagement en montagne, planchent sur de nouveaux modèles de développement des stations. L’objectif est de proposer de rapprocher les acteurs économiques (État, collectivités, gestionnaires de domaines skiables, entreprises) et les laboratoires de recherche pour inventer une « station intelligente ».
Le tourisme durable peut-il contribuer à préserver le patrimoine ?
Twitter Chat #TDTC "Tourisme Durable et Patrimoine"De quelle manière le patrimoine peut-il être un enjeu du développement durable ?
Le patrimoine est une matière première essentielle des destinations touristiques, il est nécessaire de la préserver et de la valoriser. C’est un enjeu fort du tourisme durable [ID Tourisme]. Le patrimoine est une notion large, il peut être naturel, culturel, bâti, et les Grands Sites de France rassemblent toutes ces composantes. Il appelle une gestion durable et transversale qui permette de trouver un équilibre entre site, habitants, et visiteurs. A cette fin, il faut prendre en compte toutes les dimensions de son espace naturel, habité, agricole, et historique comme aux « Deux-Caps Blanc-Nez, Gris-Nez ». Un patrimoine préservé est la base d’une expérience visiteur réussie, et se révèle un atout concurrentiel [Réseau des Grands Sites de France]. Pour aider à la réussite de cette expérience, le camping de la Fontaine du Hallate collabore avec le PNR du Golfe du Morbihan et le Grand site de Gavre-Quiberon, pour faire découvrir le patrimoine régional dans le respect de l’environnement. Cette découverte peut se révéler aussi un bon moyen de sensibiliser la population environnante en cette matière [Camping Morbihan]. Il est donc primordial pour les territoires de préserver leur patrimoine car il représente une composante essentielle de leur richesse et de leur attractivité [World Me Now].
En quoi le tourisme durable peut-il contribuer à la préservation du patrimoine ?
Le touriste est un acteur important de la protection des sites et de la vie locale, il finance directement ou indirectement les chantiers de restauration du patrimoine, et bénéficie à l’économie locale. Le tourisme durable participe à la vitalité et à la protection des territoires [Grands sites de France]. Opter pour un tourisme qualitatif plutôt que quantitatif permet de préserver le patrimoine et d’avoir une meilleure expérience de voyage [World Me Now]. Le tourisme durable sensibilise également les locaux en créant un lien sentimental avec les sites patrimoniaux. On se souvient de la mobilisation des habitants en 1999 après la tempête dans les jardins de Versailles, et l’élan de solidarité financière qui a suivi pour replanter des arbres [PariSolidari-Thé]. Pour aider à préserver le patrimoine, il est essentiel de gérer les flux touristiques, cela permet aussi de mieux orienter et conseiller les visiteurs [PariSolidari-Thé] [Camping Morbihan]. Pour ce faire les gestionnaires des Grands Sites cherchent à diffuser la fréquentation dans la durée, les saisons et l'espace afin d'offrir une expérience agréable et harmonieuse pour les visiteurs et des retombées qui profitent à un territoire élargi. Ainsi quand un visiteur est accueilli on ne le renseigne pas seulement sur le site, mais aussi sur les activités proposées sur le territoire [Grands sites de France]. Une gestion durable des flux touristiques sur un site naturel passe aussi par l’orientation des visiteurs vers les zones accessibles à la visite, et l’interdiction d’accès à des zones protégées (comme à la Pointe du raz, ou certains sites dunaires), afin d’aider à la repousse de la végétation, ou ne pas déranger la reproduction des oiseaux migrateurs (Réserve Naturelle du Banc d’Arguin) [Olivier Ranson].
Selon vous, quelles sont les bonnes pratiques touristiques à observer sur un site naturel du patrimoine ?
Tout d’abord, il faut aménager le site dans le respect de l’esprit du lieu, ne pas le dénaturer, afin de créer les conditions de « l’émotion paysagère ». Il faut reculer les parkings, créer des parcours à pieds avec différentes ambiances, doser les équipements au strict nécessaire, en bref tendre vers la simplicité et la sobriété. Dans cet esprit, Grands Sites de France a publié un recueil de bonnes pratiques du tourisme durable s’adressant à tous les acteurs du secteur, basé sur 20 exemples innovants dans les sites du réseau [Grands sites de France]. Ainsi, il faut informer les visiteurs des bonnes pratiques en fonction du site, afin de les sensibiliser aux bons comportements et au respect des lieux [World Me Now].
Les sites patrimoniaux ont aussi le devoir d’accueillir et transmettre des valeurs propres qui font sens en proposant des offres non standardisées. En invitant notamment le public à explorer les richesses environnantes, à le sensibiliser au respect des lieux, au tourisme durable et à l’éco-responsabilité [Grand Stes de France]. Pour le Camping du Hallatte qui a une approche durable, il est valorisant de pouvoir partager ces valeurs avec les sites. Par une meilleure connaissance du local, on peut arriver à créer une expérience exceptionnelle et un étonnement naturel au quotidien. L’observation des bonnes pratiques sont génératrices d’un tourisme plus responsable et éthique qui contribue également à l’amélioration de la vie des populations locales [Pandora Travel].
Pour Grands Sites de France, il est nécessaire de travailler avec des professionnels du tourisme, de les mettre en réseau, de les former et de les informer sur les pratiques durables. En ce sens, des rencontres sont organisées régulièrement sur les sites du réseau, et on peut constater qu’elles ont un impact positif sur la protection de l’environnement [Grands sites de France] [Camping Morbihan].
Connaissez-vous des exemples de mise en tourisme qui ont pu sauver un patrimoine en danger ? Comment ?
D’une manière générale, et à l’heure du désengagement financier de l’Etat dans le domaine de la culture, la préservation du patrimoine passe de plus en plus par les financements privés, et notamment par la mise en tourisme des sites patrimoniaux. Il existe beaucoup de petits patrimoines locaux qui n’ont pu être sauvés que par le biais du tourisme. C’est aussi vrai pour le patrimoine immatériel comme des savoir-faire artisanaux qui n’ont pu survivre et se transmettre que grâce à l’achat des visiteurs [Olivier Ranson].
Favoriser la découverte des sites sans voitures a pu dans certains cas les rendre à la nature, en reculant et en re-naturant les parkings, mais aussi en responsabilisant les campings-caristes. Cette pratique a permis à plusieurs sites de se régénérer et de sortir de l’asphyxie d’un trop plein touristique. Une liste de ces sites étiquetés « Escapade Nature sans voiture » est d’ailleurs consultable sur le site du réseau [Grands Sites de France].
Certaines agences comme Double Sens organisent des voyages solidaires autour de la protection du patrimoine comme au Bénin et Cap Vert. En participant à ces voyages les touristes contribuent au financement des restaurations, et peuvent même y travailler [Double Sens]. L’UNESCO suggère même le tourisme comme stratégie de revitalisation du patrimoine dans le cas des terrasses rizicoles aux Philippines [PariSolidari-Thé]. A ce titre l’organisme a créé une boîte à outils sur le tourisme durable dans les sites du patrimoine mondial [Olivier Ranson].
Sur le site de la Montagne Sainte Victoire, l’ouverture aux manifestations sportives s’est traduit par une charte établie avec des pros du tourisme, ayant pour objectif de réduire l’impact écologique. Cette charge engage les signataires à œuvrer à la conservation du site, à la préservation de son caractère sauvage, à la diffusion de l’information sur la fragilité du milieu naturel, et à la promotion des comportements éco-citoyens [Grands Sites de France].
Selon vous, quels sont les enjeux du patrimoine de demain ?
Demain, un des enjeux du patrimoine passera par la lutte contre la gentrification de certains quartiers de grandes villes, le respect des cultures, et l’organisation de rencontres entre les habitants pour éviter les conflits. Mais aussi l’accueil des visiteurs de manière plus qualitative en préservant l’esprit des lieux [PariSolidari-Thé].
Pour Grand Sites de France, il s’agira de diffuser la fréquentation au-delà des « hot spots » touristiques du patrimoine. Et de permettre plus de transversalité entre patrimoines naturels et culturels. Dans cette optique, des gestionnaires de sites se sont réunis pour la première fois en 2016 pour un forum s’intitulant « Patrimoines naturels et culturels, enjeux et synergies ». Les sites du patrimoine ont également des défis communs à relever, et cela passe par un développement de la coopération internationale des gestionnaires de sites, notamment dans le partage des bonnes pratiques sur la gestion et la préservation du patrimoine [Grands sites de France].
Aujourd’hui comme demain, l’enjeu numéro 1 du patrimoine reste la transmission de ce bien commun aux générations qui nous succèderont. Il est donc nécessaire de rester vigilant et de lutter contre les tentatives de destructions opérés dans certaines régions du monde pour des raisons politiques ou religieuses [Olivier Ranson].
VVF villages remporte en RSE le "Prix collaboratif" décerné par l'Ecole des Mines et Cegos
Pour son projet "le siège, un village comme les autres" !Dans le cadre des « salariés acteurs » de la démarche RSE, un groupe d’actions constitué de 6 salariés, a mis en place un programme d’animations en vacances scolaires (dès l’été 2016), pendant les temps de pause.
L’origine du projet tient à 2 constats issus du diagnostic RSE :
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Le siège, s’appuyant sur les statuts, demande aux villages de s’ancrer territorialement (partenariats locaux, ouverture sur l’environnement proche, etc.), sans se l’appliquer. Le siège, implanté auparavant en centre-ville, vient de déménager dans un quartier « prioritaire », en mutation : Champratel. C’est donc l’occasion de partir sur de nouvelles bases, en cohérence avec nos exigences vis-à-vis des sites.
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160 salariés travaillent au siège, au service des villages, et pourtant le sentiment est inverse : les équipes terrain se sentent au service du siège dont la perception peut parfois être éloignée de la réalité du terrain. La finalité du travail de tous étant de procurer du plaisir aux vacanciers, en sachant que le cœur de métier est l’animation … et si introduire cette notion au siège pouvait le « rapprocher » des villages ?
L’objectif 1er est donc de « rapprocher » le siège des villages et à celui-ci s’ajoute la volonté :
- d’améliorer la cohésion des équipes, tout en vivant son lieu de travail différemment,
- de partager sur les réseaux sociaux les « coulisses » de VVF avec les vacanciers et personnes qui suivent la marque sur les réseaux sociaux.
Le groupe construit les animations autour de 2 principaux éléments : la mise en valeur de talents cachés des salariés et la découverte des aménagements du quartier (éco quartier en pleine évolution avec de nombreux aménagements similaires à nos villages). L’idée est originale et sa mise en œuvre génère peu d’organisation et de frais. C’est ainsi que vont se succéder l’été : initiation de hip hop, cours de Qi gong, match de basket, parties de pétanque, pique-nique participatif en chansons, ciné actions autour du film « Demain » (diffusé également sur les villages), etc. Un 1er rapprochement s’effectue aussi avec la Maison de quartier voisine, qui gère comme nous, à l’échelle d’un quartier, la mixité sociale.
Concrètement, le groupe a détecté des salariés porteurs de talents, souvent méconnus auprès de l’ensemble des collègues, qui ont accepté de se laisser découvrir autrement … En parallèle, des espaces du quartier, adaptés à certaines activités, ont été choisis : place principale du quartier, terrain multisports et square. Le programme, sous la forme identique à celle des villages, a été diffusé dès le 1er jour des vacances, avec une participation libre et volontaire. Lors de chaque animation, le groupe encourage le « public » à participer et facilite au maximum le bon déroulement de l’animation. Encouragé par cette 1ère expérience, le groupe l’a renouvelé avec plusieurs animations pendant le mois de l’ESS (Novembre) et aux vacances de Toussaint et noël, en amplifiant très nettement les synergies avec les acteurs locaux sous la forme de visite guidée, initiation sportive, collecte jouets/livres, interventions, goûter. Certaines animations se sont totalement adaptées à un format existant sur les villages, les « P’tites fabriques » (atelier basé sur le partage des savoir-faire manuels), avec une déclinaison sur le siège avec le tricot et la fabrication de couronnes de noël pendant les pauses déjeuners.
Les bénéfices à cette 1ère année d’animations sont multiples :
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Se découvrir autrement, pour favoriser la rencontre, la transversalité entre collègues
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Générer la découverte d’activités procurant du bien-être (plusieurs salariés se sont inscrits depuis, en dehors du travail, à des activités hip hop et Qi gong)
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Acculturer les salariés à la RSE (ouverture, mixité, transmission, interactions avec les locaux, sensibilisation développement durable)
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Découvrir positivement un quartier « prioritaire », recoupant étroitement, par la richesse de ses acteurs, nos missions d’utilité sociale (territoire/diversité/mixité)
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Partager les coulisses d’une entreprise associative avec les personnes qui suivent l’actualité de VVF sur les réseaux sociaux (Facebook, Instagram, Twitter), en humanisant et valorisant les salariés
Quel bilan faites-vous du projet ?
Le bilan est globalement positif ! Cette approche novatrice a suscité de vraies découvertes entre salariés et a clairement attiré l’attention des différents acteurs locaux sur notre association. La mise en place de telles animations apporte également, comme attendu, une « coloration village » au siège. Une difficulté est cependant à noter : la mobilisation sur des temps libres, de sorte que les animations attirent souvent le même public, naturellement RSE ! Au printemps 2017, le groupe s’est fixé l’objectif de progresser sur l’élargissement du public salarié à fédérer pour étendre l’émulation au plus grand nombre (consultation salariés par questionnaire).
Le message clé à retenir de ce projet est : la RSE, ce n’est pas de la théorie ! Pour que son intégration devienne naturelle, les salariés doivent en faire l’expérience, la « respirer » au quotidien pour la faire rayonner ensuite auprès de toutes nos parties prenantes. Le projet est également particulièrement important car pour la cohérence d’une démarche RSE, on ne peut pas demander à certains d’appliquer des prérogatives sans se les appliquer à soi-même.
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Les Offices de Tourisme : un soutien essentiel au Tourisme Durable ?
Twitter Chat #TDTC "Tourisme Durable et Offices de TourismeSelon vous, sur quels critères un Office de tourisme peut-il être considéré comme un acteur du Tourisme Durable ?
Un Office de Tourisme est un acteur du tourisme durable par sa communication, son animation, et ses projets, il fédère les acteurs du territoire et impulse localement un développement durable du tourisme par ses actions et sa communication, afin de les promouvoir. A Lascaux, nous nous appuyons sur les caractéristiques patrimoniales de notre territoire pour le positionner comme durable, en nous référant à des labels comme celui de Grand Site de France, ou bien de l’UNESCO. Dans ce sens, la vallée de la Vézère s’est engagée dans une démarche de labellisation en Grand Site de France par l'État, en mettant en place un projet de développement durable. L’Office s’est également engagé dans la promotion du label NF Environnement auprès des acteurs touristiques du territoire. [Lascaux-Dordogne]. Pour Station Verte, le rôle d’un OT consiste à impliquer et sensibiliser les acteurs et prestataires au tourisme durable à travers des projets communs sur son territoire. Ses actions doivent se fonder sur des valeurs partagées sur le territoire, dont il est le garant auprès des visiteurs [Lascaux-Dordogne].
On peut considérer un OT comme acteur du tourisme durable, si les intentions et les jolis visuels sont suivis d’actions concrètes, et d’une approche stratégique de la destination adéquate. Seules comptent les actions sur le terrain et les résultats engendrés [Cedric T.] [Widetrip]. Dans ce sens, l’Office de Lascaux-Dordogne souhaite réunir des professionnels du territoire autour d’une charte d’engagement environnementale.
Aujourd’hui, pourquoi en est-on encore à catégoriser les offres durables, au lieu de les intégrer dans l’offre globale que proposent les OT ?
Aujourd’hui, les offres durables sont un atout pour les OT car étiquetées comme tendance, c’est pour cela qu’elles sont mises en avant dans une catégorie à part sur les sites web. Elles sont également une fierté et une affirmation du positionnement de la destination. Certains touristes étant demandeurs de ces offres, on se doit de faciliter leurs recherches en les catégorisant afin d’augmenter leurs visibilités. Souvent cela peut même provoquer un effet d’entrainement sur la destination. D’autre part à Lascaux, on essaie de privilégier l’affichage des offres écolabellisées garantissant un mode respectueux de l’environnement [Lascaux-Dordogne].
Cette catégorisation permet de rassurer les visiteurs sur la qualité des offres proposées par le territoire [Widetrip]. Et de mettre en avant les projets de qualité, qui sans cela serait noyés dans la masse [Cedric T.]. Certains pourraient reprocher la marketisation de ces offres, mais à partir du moment où la démarche est expliquée, cela fonctionne [Camping Morbihan].
Beaucoup d’OT en sont encore à réfléchir à l’introduction d’offres durables, pour se faire celui de Chatellerault réunit en ce moment des professionnels du tourisme et du développement durable, ainsi que des représentants des labels, afin de concrétiser cette réflexion [Station Verte]. Et attention à la déception si le territoire a peu d’offres durables à mettre en avant, de nos jours il en va de la crédibilité d’une destination [Lascaux-Dordogne].
Selon vous, pourquoi tous les Offices de Tourisme ne sont-ils pas engagés dans une politique volontaire de tourisme durable ? Quels freins ?
En règle générale, on se rend compte que le critère durable n’est souvent pas l’essentiel dans le choix des vacances, et sur les réservations d’hébergements [Lascaux-Dordogne]. Bien que l'engagement environnemental soit devenu le 4eme critère de choix d'hébergement après le prix, le confort, et la géolocalisation [Fairbooking]. La stratégie actuelle de certains OT leur permet déjà d’avoir une visibilité sans se positionner sur le tourisme durable.
La labellisation officielle peut également se révéler vite coûteuse et longue à mettre en place à l’échelle d’un territoire, surtout pour les petites structures [Lascaux-Dordogne] [Camping Morbihan]. Il y a souvent un manque de moyens, mais aussi un manque de connaissances, et cela devient vite un labyrinthe quand on essaie de s’y intéresser de près [Cedric T.]. Il peut y avoir également un manque d’engagements car les professionnels du tourisme ne sont pas toujours demandeurs [Camping Morbihan]. Pour Station Verte, l’engagement dans le tourisme durable est l’affaire de tous, un office de Tourisme ne peut pas développer une politique dans ce sens s’il ne peut pas s’appuyer sur les prestataires et décideurs locaux. Si ces derniers s’engagent, un effet d’entraînement est possible, et plus d’offres durables peuvent être proposées [Lascaux-Dordogne].
Parmi les freins, l’étiquette durable et l’engagement qu’il entraîne peut aussi faire peur à certains [Cedric T.]. Attention aux emballages et aux abus de l’étiquette « développement durable », qui voit passer tout et n’importe quoi [Camping Morbihan] [Cedric.T.]. L’appellation « Durable » peut être galvaudée, d’où l’importance de se fier aux labels [Lascaux-Dordogne]. Dans ce sens, et pour rassurer les consommateurs, le label Station verte a mis en place un référentiel qualité qui garantit l’engagement des communes faisant parties de son réseau [Station Verte]. La profusion des labels peut cependant générer de l’incompréhension et de la crainte, rien qu’en 2010 on en comptait déjà 30.
Un dernier frein réside dans la frilosité à s’engager des décisionnaires des Offices de Tourisme et des Comités Départementaux du Tourisme qui ne sont pas calés sur des logiques vertueuses des activités touristiques [Camping Morbihan]. Pour les convaincre, l’organisation d’évènements comme « Les assises du Tourisme Durable » est importante. L’animation, la communication, la sensibilisation auprès des acteurs du territoire est primordiale car elle lève beaucoup de tabous [Lascaux-Dordogne].
La loi Notre et le regroupement des OT peuvent-ils permettre des progrès en matière de tourisme durable ?
La loi Notre a établi le transfert de la compétence Tourisme aux intercommunalités le 1er Janvier 2017. Elle oblige tous les OT d’une intercommunalité à fusionner, sauf dans certains cas prévus. Cela implique une réorganisation totale, et redistribution des rôles au sein des OT.
Pour l’Office de Tourisme de Lascaux-Dordogne, la fusion des OT peut permettre la création d’une stratégie commune en matière de tourisme durable. La fusion des entités permet de dégager des moyens en mutualisant les fonds, mais aussi de créer de nouvelles compétences qui n’existaient pas auparavant dans les offices pris isolément. Cela peut permettre des progrès importants et multiplier les propositions d’offres durables. Mais également de multiplier les personnes compétentes et en charges de cette thématique au sein des Offices de Tourisme.
La loi Notre peut permettre aux OT de se fédérer autour d’outils numériques communs, de proposer des contenus plus divers, et de porter des valeurs responsables [Fairbooking].
Comment imaginez-vous l’Office de Tourisme de demain ?
Demain, un Office de Tourisme se doit d’être plus humain, technologique, connecté, et accessible à tous [Cedric T.]. Avec au minimum une section dédiée au tourisme durable, et des moyens mis à disposition [Explore le Monde]. Un Office de tourisme développant des activités et des offres éducatives, durables et respectueuses du territoire, comme des ateliers de sensibilisation. Dans ce sens Saint Hilaire du Harcouët implique des associations locales pour animer des ateliers responsables.
L’OT de demain devra porter des actions développant les circulations douces, et la biodiversité [Station Verte]. Il doit être capable de mettre en place des actions diminuant l’empreinte environnementale du tourisme, un enjeu majeur pour demain [Lascaux-Dordogne].
Enfin, l’Office de demain devra être plus proche des visiteurs et des socioprofessionnels, et privilégier les rencontres authentiques entre touristes et habitants afin de vivre une expérience unique [Lascaux- Dordogne].
Lancement de la campagne "TOUS ACTEURS DU TOURISME DURABLE"
Le teaser de la première web série dédiée au tourisme durable est en ligne !Avant l'été, il est primordial de faire comprendre à tous les publics que des vacances responsables sont tout simplement synonymes d'émotions, de rencontres et de découvertes. La campagne "Tous Acteurs du Tourisme Durable"* met en lumière des expériences inattendues, vécues en couple, en famille ou entre amis, dans plusieurs régions de France. En avant première, venez assister à la présentation de la première web série dédiée au tourisme durable :
PETIT DÉJEUNER PRESSE
LE JEUDI 1ER JUIN À 9h30
SUR L'ÉCO QUARTIER DE LA HALLE PAJOL
- Auberge de jeunesse Paris Yves Robert -
Au programme, une projection débat sur le thème "Tourisme durable : quels outils pour sensibiliser les vacanciers ?" animé par Julien BUOT, Secrétaire d'ATD et initiateur de la Journée Mondiale pour un Tourisme Responsable.
avec les interventions de :
Florian Mosca et Laurent Lingelser, Producteur et expert en brand content
Clémentine Concas, Directrice développement durable du Groupe Barrière
Laetitia Santos, Fondatrice et Responsable éditoriale de Babel Voyages
Edith Collavizza, Directrice développement durable de l'Auberge de Jeunesse Paris Yves Robert